Lilly

Je viens de faire le caractère ^^
J'ai fait un peu plus de 4 ligne environ 42 en plus mais je suis super contente du résulta mais par contre je l'ai fait avec Word donc si il y a quelques incohérence c'est le programme.

Bon la description physique risque d'être beaucoup moins longue, j'aime mieux le mental et il va falloir que je fasse tout le reste mais le caractère ça vas ou il y a des choses que j'ai écrire qui s'opose(j'ai pris comme base un caractère que j'avais écrit pour un forum Harry potter donc il risque de parler à un endroit de magie).

J'ai commencer le début de l'histoire et poster le physique. Si tout se passe comme je le pense la présentation devrait être finie demain mais il risque d'y avoir un contretemps car je crois que je devrais aller à Bruxelles...

Mais pour le niveau je sais pas, c'est pas dure de faire une présentation. On a de l'inspi et on la met tout dans un sujet. Mais pour faire une série de message il ne fait pas mettre tout dans le premier car alors pour les autre ont rames.

Mais attent toi à quelque chose de long, je n'i décris que ca première année et j'ai déjà tapé 26 lignes en word ...
Et pour le reste de la fiche devrait être normalement moins loins du moins je l'espère ^^ et finalament le plan Bruxelles à été abandonné donc j'irais juste dans le centre de mon village à un play back *je passerais pa sur sène rassurez-vous* Juste pour regarder.

Mon message accompagnée de ma présentation était trop long donc je vous la met ici:

[Je sais qu’il y en a un qui trépignent d’impatience à l’idée de lire mon histoire, donc là voici…]



Cette histoire n’a rien d’un conte de fée et n’est pas spécialement d’une très grande justice ...

Lilly n’aime pas parler de son histoire, quand on la questionne c’est : Je suis née et je suis arrivée ici. Entre les deux il n’y a rien du moins elle espérerait qu’il n’y ai rien car elle n’a pas quitter le foyer de papa et maman pour faire sa petite rébellion. Se serai plutôt le contraire, ses parents n’ont pas fait de rébellion –elle trouve d’ailleurs ces gens légèrement stupide, ils n’imagineront jamais la chance qu’ils avaient- mais c’est peut-être justement pire. Le début de sa vie ne se passe comme tout les autres, elle vit dans une famille du moins elle le suppose mais sans véritablement pendant environ un an elle n’a pas non plus d’informations fondées peut-être avait-elle une sœur avec qui elle aurait pu bavarder et faire du shoping, peut-être avait-elle un frère avec qui elle aurai pu se bagarrer mais se qui est sure c’est qu’elle avait des parents qui auraient pu lui donner l’amour qu’elle n’a jamais eu mais à la place d’aider cette si petite fille qui présentait des trouble mentale dès la naissance, ils étaient égoïstes et hypocrites elle le sait aujourd’hui et elle les haït de toute son âme car il l’ont laissée là. Dans le froid sur les marches la laissant hurler dans la nuit jusqu’une sœur viennent ouvrir et découvre le paquet béant qui hurlait à la mort, ça ressemble fort a un compte de fée qui commence mal mais heureusement qui finit bien mais nous sommes dans la réalité, dans la cruelle réalité devrais-je plutôt dire. Voilas comment son premier réveillon de Noël s’est dérouler, c’est cruel de faire çà a un enfant le jour de noël elle na jamais aimer Noël on se demande pourquoi et a toujours refusé d’ouvrir le cadeau qu’on donnait au enfant pour le réveillon dans l’orphelinat. Tout le monde se moquait d’elle car elle entassait les boites emballées dans un papier dégarni à l’intérieur de son armoire, il doivent encore y être de nos jour. Elle n’ira jamais les rechercher, elle ne retournera jamais dans cet endroit où elle a appris que la vie est dure pour les orphelin, où la vie était si merveilleuse comparé au froid de la rue… Elle passera 5 ans dans cet endroit qu’elle déteste à présent, mais on pense parfois que les orphelinats sont des endroits pour les orphelins qui attendent d’être adopté. Il n’en est rien du moins pas dans celui-ci et avec la chance qu’elle a, c’est sûrement l’orphelinat qui sort de la norme. Même si sa première année dans le centre fut sa plus dure car se bercer d’illusion n’est bon en rien et elle croyait dure comme faire que ses parents allaient venir la rechercher malgré les sourires narcissique des sœurs qui semblait si réjouie du fait qu’elle se berçait d’illusion pour ensuite mieux savoir l’endoctriner. Elle ont fait tout se que Lilly lisait dans leur regards mais je vous disait que se bercer d’illusions n’est bon en rien car avec sa maladie ça se faisait que rendre plus présente cette force qui la rongeait de l’intérieur et pas bon pour le physique car les sœurs préféraient aux lignes les punitions corporel ou la manque de repas. Lilly avait cependant à cette époque une motivation dure comme fer et cru jusqu’à l’âge de 4 ans qu’elle sortirait de ce bâtiment accompagné de parents pas forcément les biologiques mes des parents quand même. Les pires moments restaient les visites d’adultes cherchant des enfants, pratiquement tous ses congénères réalisèrent se qu’elle voulait tant mais personne ne semblait s’intéressé à elle qui était toujours couverte de bleus. Je suppose que vous vous êtes fait une petite idée de la provenance de ses coups à l’arrivée douteuse, les sœurs se faisaient toujours un joie après chaque visite de faire un serment à ceux qui étaient condamné à rester entre les murs froid du bâtiments jusqu’à la prochaine visite. Ce serment était sensé les sensibilisé sur le fait qu’il n’était rien comparé à elle et que si il ne se comportait pas mieux il resterais ici toute leur vies, à cette époque Lilly était ce qu’on appelle une forte tête et je peux vous dire que quand on est au prise avec un sœur telle que celles-là il vaut mieux garder la tête baissée et opiné docilement. Quand Lilly avait le courage de se dresser contre ses tirants pris pour des saints la correction n’en était que plus terrible, l’outil de torture préféré des sœurs était certainement la ceinture parfois une latte mais quand il ne s’agissait qu’un petit rappelle elles se contentaient de giflé les personne visée. Si vous avez tout suivi, vous vous rendez compte que la vie dans cet endroit était un cercle infernale et vicieux, plus ont niais plus on se faisait battre et moins on avait de chance de se faire adopter. C’était une vie horrible, elle ne s’en doutait pas encore mais le mal ne venait que de commencer. Le processus d’autodestruction s’enclencha un dimanche soir juste avant la veille de Noël, cette année il ne neigeait pas il pleuvait fort trop fort. Les gens venu assister au visite le matin n’avait pas porter grande attention au enfant, ils avaient apparemment hâte de rentrer chez eux de manière à commencer la préparation du dîner. Un seul était parti et comme vous vous en douter se n’était nullement Lilly qui pestait intérieurement contre cette date qui lui rappelait comme chaque année qu’elle avait été abandonnée. Elle regardait à travers la fenêtre pour distinguer les formes noires se dépêcher de rentrer pour ne pas être trempé. Elle aperçut alors une petite fille vêtue d’un ciré jaune qui s’amusait à sauter dans les flaques d’eau sous le regard mi attendri mi fâché de ses parents, une larme coula sur la joué blême de Lilly et elle pesa : J’aurais pu être cette petite fille… J’aurais pu…

Mais elle fut tirer de ses pensée par une des sœur, la plus cruelle qui allait leur décerner leur habituelle discours mais cette fois-ci elle s’acharna sur Lilly qui à la longue y était devenue insensible mais quand la sœur reprocha à une fille qui pleurai car elle n’avait pas été d’adoptée par ses paroles : Ne pleure pas, tu n’as pas de raison de pleurer on ne t’as pas abandonnée toi !

La sœur avait particulièrement insisté sur le dernier mot et le pire était que c’était elle qui avait découvert Lilly sur les marches froide du perron. Lilly qui n’avait alors que 7 ans du moins on le supposa se jeta sur la sœur avec qu’une idée en tête lui faire le plus de mal possible mais vous vous douté bien qu’une petite fille de 7 an aussi motivée soit-elle puisse faire beaucoup de tord. Mais pour cette sœur c’était apparemment une raison suffisante que pour l’emmenée dans son bureau et là commença un long discourt sur les raisons de cette dispute et de sa colère. Mais quand la phrase habituelle revint sur le tapis, cette phrase que Lilly déteste toujours autant : Pourquoi as-tu fais ça?

Lilly en avait été toute retournée, comment pouvait t’on l’accusée d’avoir agi cruellement alors qu’on l’avais tout simplement provoquée. Elle avait répliqué sur un ton simple mais ferme : Parce que vous m’avez provoquer et que vous êtes un être cruelle et que pour une fois dans votre vie on vous a remis à votre juste place !

Les mots étaient sortit tout seuls mais elle réalisa avec horreur que c’était justement les mots qu’il fallait éviter, les gens aiment rarement qu’on leur disent leur quatre vérité et encore les gens qu’on prend habituellement pour des saints. Lilly avait à peine eu le temps de voir la sœur qui paraissait hors d’elle qu’on la rouait de coups plus violents les uns que les autres. Quand enfin les coups s’arrêtèrent, elle ressentit une violente douleurs à la tempe et sentit un liquide chaux coulé le long de son visage. Elle entendit une phrase : Il vaudrait mieux se débarrasser d’elle !

Et puis plus rien. Cette nuit-là elle a vu la mort de près et quand elle a enfin rouvrit les yeux se rendit compte qu’elle était à bout de force et que le simple faite d’ouvrir les yeux lui prenait une énergie folle. Elle se contenta de regarder le panorama qui s’offrait à elle, elle n’avait pas encore retrouvé toute sa raison qu’elle s’endormit. Quand elle se réveilla le lendemain, elle se dit que la douleur qu’elle avait éprouver la veille n’était qu’une vulgaire piqûre comparée à celle qu’elle ressentait en se moment. Elle se releva péniblement et portât la main à auteur de la plaie béante que n’était selon la sensation de ses doits pas encore parfaitement coagulée. Elle se regarda dans une vitre et compris enfin l’ampleur de toutes ses blessures. Elle passa sa journée à sa tenir la tête mais quand le soir vint s’était encore pire car le mal de tête semblait enfin pointé le bout de son nez, elle se coucha sur le sol dure froid et humide alors que sa tête semblait en même tant sur le point d’exploser et de se vider de tout son contenu. Elle pleura toute la soirée et quand la nuit laissa enfin place au soleil il lui semblait qu’elle avait usé toute les larmes de son corps et se jura de n’en verser plus aucune. Elle rencontra plusieurs autres personnes et commença à vivre avec elle… Elle s’est trouvée une passion, la photographie et un appareil ou elle peu laisser libre cour à sa passion…

Voilas enfin finie

Merci, j'ai sauté partout quand j'ai lu ton compliment ma mère est même venue vois si je n'avais pas fait une crise d'histérie!!! Merci beaucoup!!!!!!!!!!!