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 Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly

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Eliott Dobers
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MessageSujet: Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly   Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly Icon_minitimeJeu 20 Mar - 21:20

  • Eliott avait les yeux fermés, il revait. Faute de bien dormir la nuit, il se reposait la journée. Du mieux qu'il pouvait du moins. Il voyait un ballon en mousse voler dans la jolie piscine de la maison, le chien courir puis s'arreter juste devant l'eau faute de vouloir se mouiller, des rires. Une limonade assit dans l'herbe du jardin, l'herbe fraiche et verte. Les rires joyeux, les sourires d'espoir, la où ya d'lamour y d'l'espoir tout le monde le sait. Eliott revait des gateaux au chocolat fait par sa mére, des bisous echangés en cachette de ses deux parents, des journées allongé seul dans l'herbe à regarder l'amour qui flottait dans l'air, de ses journées à s'ennuyer d'être si heureux. Et la bouel se resserait dans son ventre. Il voyait son pére et sa mine defaite, il ressentait encore la nausée, la boule au ventre, l'estomac se noue et les tripes vous sortent par la bouche, vous n'arrivez pas à pleurer, vous n'arrivez pas à sourire, votre articulation est bloquée, vous avez mal. Vos yeux sont brouillés par les larmes qui ne veulent pas sortir mais en même temps brulé de ne pas se fermer et laisser enfin couler les larmes. Le sol qui se fend sous vos pieds, vous vous sentez tomber et vous restez allongé par terre, vous n'avez plus la force de vous relever, et vous pleurez. Vous convulsez violamment sur le sol, votre respiration est coupé et votre coeur bat la chamade, il se decroche, il se fend, il est brisé... Vous avez chaud, vous n'y croyez pas mais c'est malheureusement la triste veritée. Vous vous sentez inutile, vous passez vos journées assit par terre à regarder la fenetre, à attendre son retour en vain. La nuit vous vomissez, vous êtes malade, vous ne dormez plus. Toutes les nausées, le vomit c'est votre haine, votre tristesse, vous vomissez votre coeur à chaque spasme. Puis la suite est tout aussi terrible, tellement que je n'en ai la force de l'ecrire. un dernier souvenir, ses lettres qu'il glissait dans la tombe de sa mére, toutes ses lettres sans réponse, la toute derniére lettre avant de partir, la nuit... les voix... Tu l'avais entendut Eliott, dans ton sommeil elle t'avait enfin répondut! Tout n'est pas mort Eliott, toi tu est vivant, toi tu est là, reste je t'en pris, reste...
    Eliott ouvrit les yeux, le soleil l'aveugla en premier lieu puis devint juste genant puis indifférent. Eliott se redressa et s'assit, tout tournait autour de lui, il est souvent penible de replonger dans ses souvenirs, trés penible. Eliott avait la penible envie de pleurer mais il n'en avait pas la force, plus la force, il se ressaisit, c'est la seule chose qui reste à faire de toute façon. A quoi bon toujours vider son corps d'eau pour quelque chose de definitivement terminé. Le temps de l'amour, de la joie, du bonheur et de l'inscouciance. On a pas peur par ce qu'on est pas en danger, logique des choses!!
    Eliott se leva, il vit le chemin remplis de gens qui eux aussi étaient venus au parc, bondé. Il sen sentait étouffé au milieu de tant de monde! Il se sentait faillir. Avec quelques contortions il reussit à s'extirper de tout ce monde, le ciel était bleu, le soleil jaune. Il fesait beau et pourtant le regard des gens était vide, totalement denué de sentiment, Eliott avait peur, que voulaient ces gens? Qu'avaient ces gens? Avec leur demarche robotique et leur regard vide, leur conversation monotone et leur remarque aussi douloureuse qu'une balle dans le coeur ils étaient... ils sont si dangereux! Eliott se mit à courir, sont coeur était battant, il avait des palpitations. Il alla se refugier derriére un mur, il se croyait dans une bonne cachette, les gens sont trop cruels... Bien trop cruels!
    Il se croyait seul, bien caché mais il entendit bien vite des bruits de pas, il s'assit et se roula en boule, il ne voulait pas voir les gens, ils avaient surement dut le retrouver!! Non! Il était là, roulé en boule, il avait bien trop peur pour affronter la verité en face. Et les bruits de pas se rapprochaient...
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Lilly Heaven
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MessageSujet: Re: Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly   Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly Icon_minitimeDim 23 Mar - 19:29

Vous avez déjà été malade? Je ne parle pas de cette petite grippe qui passe en une semaine mais de cette maladie qui vous attends ou coin de la rue et qui vous ronge alors que vous n'en avez même pas conscience. C’est une maladie de se genre qui s’était emparé de Lilly, il y a de cela déjà un bon mois. Vu les symptômes c’était sûrement une pneumonie car elle passait son temps à tousser violemment, la fièvre et l’épuisement aurait bientôt raison d’elle. Le début de la journée avait été abominable car elle avait passé une nuit agitée si on pouvait dire que c’était une nuit même si elle avait dormis son sommeil avait été ponctué de réveil brutal et de rendormissements difficiles sans compté les spasmes et oui son problème qui s’était fait oublié depuis quelques temps avait pris un malin plaisir à réapparaître au moment le plus mal choisis. Quand je vous parle de maladie qui ne fait que somnoler je sais de quoi je parle. Enfin revenons à notre histoire, elle était recroquevillée dans un renfoncement froid et obture tout comme la ruelle qui lui servait de refuge pour la journée. Le sommeil commençait à la gagnée mais il ne fallait pas qu’elle s’endorme, il faut qu’elle reste éveillé à tout pris éveillée…

Plus rien, elle s’est endormie la nuit qui était sensée être reposante à eu raison d’elle. Le même manège que lorsqu’il faisait sombre se remet en marche et les spasme se font de plus en plus violent mais elle se réveille brusquement, quelqu’un vient, des pas… Des pas rapide des pas qui vienne dans sa direction du moins elle le suppose puis le silence. Pour quelqu’un qui était sensée venir la chercher il s’est arrêté un peu trop tôt, avec un peu de chance il ne venait pas pour elle pas pour lui faire du mal. L’endroit reçoit cependant trop de visite à son goût et elle décide de partir, elle se lève… Ses jambes ne tiendront pas très longtemps, son cerveau à visiblement du mal à faire le liens avec toutes les information. De quel côté venait le bruit? Par ou aller de quel côté est le ponds et ou aller à par ici? Autant de questions se bouscule dans son esprit, beaucoup trop de question pour quelqu’un d’aussi fatiguer. Elle lève une jambe, l’autre hérite de tout son poids, c’est de trop tout la vie est de trop, tout arrêter, mais pourquoi… Il faut continuer absolument continuer courir vers la gauche, absolument. La pensée qui avait quand même gardée une petite part d’autorité essaye de faire fonctionnée l’ensemble du mécanisme qu’est son corps. Même si Lilly n’a jamais été douée en sport, elle a des jambes, des jambes qui vont vites. Mais les maladies sont trop présentes… Ses jambes la lâche, elle tombe sur le sol dur encore plus que les murs de la ruelle. La douleur qui était sensée ne pas se montrer pointe quand même le bout de son nez, elle s’est mordue la langue en tombant, le choc à produit un son mou comme une masse sans vie qu’on jetterai du haut d’une montagne. Un liquide chaux vient commence à sortir de sa bouche lui rappelant ce jour de noël si monstrueux, elle voix flou. Elle voix une silhouette se manifester devant elle, une silhouette inconnue car ses yeux remplis de larmes qui brûle puisqu’elle ne veut pas se résoudre à les fermé, non aucune larme ne coulera sur ses joues. Elle recommence à voir clair, elle n’a pas fermer les yeux, elle reconnaît Eliott qu’elle a si souvent regarder dessiner. Elle le regarde dans les yeux…

[J'ai mis beaucoup dans le premier pot donc ne sois pas surpris si je fait moins bien pour les autres]
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MessageSujet: Re: Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly   Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly Icon_minitimeDim 23 Mar - 20:17

  • Eliott baissa d'abord son regard, puis le releva. Lilly... Lui qui s'était effrayé par les bruits de pas, de chute, par les bruits tout court alors que c'était juste Lilly. Pourquoi toujours apercevoir le pire! Sa c'est un défaut Eliott! Il lui esquissa un sourire qui se voulait joyeux mais qui ressortit simplement en sourire de salutation. Eliott avait souvent du mal à gerer ses sentiments, à improviser, à jouer la comédie et c'était plutot maladroit que d'essayer à chaque fois de se rattraper avec des sentiments factices que l'on arrive pas à imiter et que l'on arrivera jamais à imiter. Soit notre vie est une réelle illusion, on joue avec le vrai et le faux, on metrise l'art de l'embrouille à perfection ou bien comme Eliott, on est de piètre comédien et l'on vit pour soi quitte à deplaire aux autres, quitte à se montrer tel qu'on est à n'importe qui dans n'importe quelle circonstances. Chacun est-tel qui est de toute façon, on ne peut s'improviser quelqu'un d'autre. On nait tous différent et c'est ce qui fait notre authenticitée, c'est ce qui fait de nous des êtres uniques, des originaux de nature! Aprés libre à nous de se rendre mouton en imitant les autres, en copiant les autres, en fesant comme les autres. En entrant dans des phenomènes de mode attrayant et quelque peu absurde et dont tout le monde a le secret puisque sa n'est plus secret, sa ne l'a jamais été. Ce qui est à la mode est un partage commun d'un langage universel. Le corps.
    Eliott se redressa puis se leva, rester recroquevillé de toute façon ne sert à rien. La position foetal n'est que le masque d'un manque total de répartit et de confiance en soi. On aimerait retourner dans le ventre de sa mére, retourner dans le confort maternel. Etre protegé, nourrit, aimé et surtout... ne jamais connaitre la souffrance de cet horrible monde qui nous tue chaque jours. Des milliards d'humains naissent, des milliards d'humains meurent. Nous ne sommes qu'une statistique, nous ne sommes même pas traités en humains avec des besoins et des sentiments. Encastrés dans une planéte à la dérive, y a plus de place alors certain se jete de bord. Le sucide. Voila de quoi ce monde est fait, de haine,d'argent, de pouvoir, de manipulation et d'une INCROYABLE comédie! Les gens sont des comédiens, ils font semblant de vivre, d'être heureux et la nuit dans leur lit douillet, ils pleurent, pourquoi? Par ce que pour être un humain il faut être malheureux, c'est à la mode. Les jeunes pour cela se mettent à fumer, plus tard ils seront malheureux, cancer du poumon. Ils se droguent, ils seront bien malheureux, overdose. Ils boivent, ils sont si triste, alcoolisme. Les filles font leur pute, elles pleureront toutes les larmes de leur corps, viol et enfant non desiré, mére à quinze ans. Ils font les rebels à l'école, ils hurlent leur idéaux factices, pas de diplomes pour eux, le chomage les attends, a sa ils le regretterons. Et cette jeune fille qui senfonçe un rail de cocaine dans le nez, trois ans plus tard on l'accepte aux services d'urgence, ils ne peuvent malheureusement plus rien faire pour elle, sont cerveau a laché. Elle c'est transformé en legume. Sa mére chaque soir lui donne le repas en perfusion, lui allume la télevison et la redresse pour qu'elle puisse la regarder, puis quand elle fait cligner ses yeux c'est qu'elle a sommeil, sa mére eteintla television et la couche. Et sa continuellement. Est-ce une vie? Et pourquoi ne pas simplement être heureux? Regardez ses jeunes qui vivent dans la rue et dorment à même le sol, qui se nourrissent si peu, ils donneraient tout pour être à votre place, et vous gachez tout! Vous êtes si bête!
    Eliott tendit une main secourable à Lilly pour l'aider à se relever.

    "Sa va tu t'est pas faite mal?"

    [ Excuse moi parfois mon ordi bug et quand j'corrige mes erreurs sa efface la lettre d'aprés donc j'ai quelquesmots qui sont mangés. ]
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MessageSujet: Re: Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly   Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly Icon_minitimeLun 24 Mar - 20:10

Lilly le regardait dans les yeux puis sa main qu'il lui tendait puis encore ses yeux... Elle essayait de savoir si il essayait simplement de se montrer gentil ou si il voulait remuer le couteau dans la plaie comme tant d’autres petits cons qu’elle devait côtoyer chaque jour, il lui avait souri mais comme d’habitude elle n’avait pas renchérit. A quoi bon de toute manière il devait y être habitué, non ? Mais histoire de ne pas paraître trop méchante elle imita un faible sourire, presque rien mais elle espérait qu’il l’aurait perçu, pourvus qu’il l’ai perçu! Le sang commençait à coaguler car la sensation de chaud avait à présent totalement disparu faisait du mal et du bien à Lilly, ses sens étaient quand même embués par la douleur. Au moins elle savait que ce n’était pas une personne mal intentionnée qu’elle avait entendu mais le choc restait encore bien présent dans son esprit et le bon côté de la chose était qu’au moins elle avait ressenti quelque chose et n’était pas devenue de pierre comme le prétendait certain. Ils avait tous tord, elle était bête de penser le contraire mais à l’heure qu’il est où tout le monde est pareil du moins tout le monde semble pareil. Ceux qui pensent comme cela on tord et ne le savent même pas, certain auront de la chance toute leur vie et des autres comme elle seront voué à n’avoir que la misère comme amie. Le pouvoir et la richesse sont les deux grands chefs de ce monde, on le sais tous mais personne n’a assez de courage que pour le clamer haut et fort, non ils ne fonctionne qu’avec des messes basses et encore. Les seuls qui oseraient parler sont à jamais réduit au silence comme eux tous et quand quelqu’un qui en à la chance parle ont le toise et il est lui aussi réduit au silence avant même qui le monde puissent entendre se qu’il avait à dire.

Il essayait sûrement de l’aidée, du moins elle l’espérait, il lui restait un part d’espoir. Un très fine part d’espoir, l’espoir fait vivre et l’espoir est souvent le pire des poisons elle le savait et le niait… Lilly fonctionne souvent par contradiction mais ce n’est pas nouveau du moins pas pour elle n’y pour ceux qui semble la connaître, elle entendit ce qu’Eliott lui disait. Elle fut tentée de saisir la main qu’il lui tendait et s’apprêtait à lui répondre mais au moment ou ses doits frôlèrent ceux d’Eliott, elle eu un vertige et toute la soirée de Noël se repassât dans sa tête. Elle était partie pour encore une de ses crises, foutu maladie, ses yeux se révulsèrent et elle commenta à trembler en criant des paroles dénuées de ses sens. Elle retomba sur le sol mais aucune des douleur qu’elle ressenti ne la fis sortir de sa crise. Et puis rien, s’était passé comme d’habitude. Voilas une des raison pour laquelle elle refusait tout contacte avec les gens pas une poignée de main et ni tout autre contacte même ceux qui se veulent doux. Elle rampa jusqu’au mur et s’y appuya, elle ferma les yeux et une des larmes qu’elle avait retenue il y a peu coula le long de sa joues. C’était l’équivalent des grosses larmes et des cris de certain, c’était la charge de tout se qui trônait sur ses épaule et elle répondit à la question qu’il lui avait posé :

Cette maladie aura ma peau…



La réponse ne fonctionne pas avec la question pas vrai, ce n’est pas spécialement important on lui pardonne, non? Une crise est déjà assez traumatisant…
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MessageSujet: Re: Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly   Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly Icon_minitimeLun 24 Mar - 21:02

  • Eliott la regarda faire sa crise, il ne disait rien, cette fille le depassait. Il savait bien qu'elle était malade mais elle avait une maniére de toujours en faire trop, de toujours se faire remarquer qu'Eliott n'appreçiait pas vraiment. Il comprenait qu'elle pouvait avoir du mal à ses gerer mais dans ce cas là pas la peine d'en rajouter. Puis il aurait bien aimé l'aider mais il ne savait pas vraiment quoi faire, elle aurait faire une crise d'angoisse, une crise d'asthme, une crise de spasmophile; sa restait dans ses cordes, mais là il ne savait pas ce qu'il était censé faire, encore moins ce qu'il était censé ne pas faire. Mais heureusement la crise passa. Mais Eliott avait comme une certaine géne, comme d'habitude, il se sentait impuissant. Il avait tellement été traité comme bon à rien, comme inutile. Et c'est cela qu'il avait du mal à apprecier chez cette fille, elle semblait sans cesse avoir besoin d'aide et à chaque fois Eliott ne sait pas comment l'aider et voila, il se sent nul, inutile, bon à rien et il retourne dans ses angoisses terrifiantes de sa. De ce qui c'était passé, de tout ce qui c'est passé. Il voyait encore ces regards malsains, ces regards supérieurs et fiers! Il arrivait au collége, toujours habillé de maniére assez... enfin Eliott quoi. Et puis il restait avec ses soi disants amis, qui le soutenirent jusqu'a ce que les choses sérieuse commençent, jusqu'a ce qu'il decide enfin de partir d'içi. De cette foutue situation! Il se voyait encore, il fesait nuit, il fesait froid. Il devait être minuit, il rentrait de fête. Il habitait un peu plus loin que les autres alors il finissait toujours le chemin seul, cela ne le derangeait pas au contraire, cela lui permettait de faire le point dans sa tête avant de rentrer, pour ne pas sombrer dans la folie la plus totale en voyant en rentrant son pére affalé sur le canapé, bourré d'antidepresseur à la con qui le detruisait de plus en plus chaque jour. C'est qu'il en devenait presque violent par moment, et ces moments là Eliott les craignaient plus que tout, plus que la mort en soi même. Il aurait voulut mourir plutot que des les endurer, enfin bon passons sa n'est pas de sa dont je veux vous parler. Donc il rentrait chez lui. Sur le chemin se dessinait des ombres derriére lui, lui qui d'habitude fesait le chemin seul, personne n'habitait là, pas de jeune je crois. Il n'en avait pas souvent croisé en tout cas, enfin pas des jeunes du genre à sortir et a rentrer à minuit en tout cas, sa il en était sur. Alors qui étaient-ce? Il s'en rendit compte trop tard. Il se rappelait de s'être retourné et d'avoir vut... et d'avoir vut la haine dans leur regard. Les jeunes de son collége, ses machos sans coeur qui ne pense qu'a fumer, qu'a faire les rebels des bacs à sable, et qui font les mauviettes et qui chialotte quand on les virent pour deux jours du collége, voir trois. Et sa pleure comme des bébés. Et lui Eliott n'avait plus jamais eu envie de pleurer, quand il eu enfin vidé son sac aprés la mort de sa mére. Il les avait regardé avec insistance, les questionnant du regard, mais Eliott savait déjà. Il se mit à courir mais ses especes d'athlétes surentrainé l'avaient bien vite rattrapé! Il se rappele, un type c'était mit devant lui, sur son chemin, l'empechant d'avançer. Et ils l'avaient encerclés, ils étaient pret à le tuer ce sale pédé! Eliott savait ce qui l'attendait alors il aurait aimé fuir mais il ne pouvait malheureusement pas! Il avait alors encaissé les coups, les insultes. Il c'était laissé frappé jusqu'a plus de haine. Il était resté allongé sur le sol froid, de cette nuit froide, à minuit du soir. Il n'était pas rentré chez lui. Mais qui pour s'en préoccuper? Son pére se foutait bien de se qui pouvait lui arriver puisqu'il était defonçé aux medicaments! Et il était resté sans force par terre jusqu'a matin. Puis il se leva quand le soleil lui aussi se leva, il rentra chez lui sans un mot et se lava, se changea et resta chez lui. Il ne voyait pas l'utilité d'aller au collége avec la "défiguration" qu'il avait. Et il avait été absent durant deux semaines, il n'osait plus y retourner. Mais il y était retourné et... il avait eu sa vengeance. Sans bruit, en silence il avait rusé d'intelligence, il c'était attaqué au femelettes de ses machos. Il avait brisé tout les couples avec quelques fausses rumeurs de son invention, il avait fait courir des saletées de réputation, il avait salit leur dignité, leur orgueuil. Il les avait humilé par une force différente.
    Eliott regarda Lilly, il s'assit à côté d'elle et regarda au loin, là où se termine la Terre, là où se couche le soleil...
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MessageSujet: Re: Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly   Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly Icon_minitimeMar 25 Mar - 13:29

En faire de trop? Peut-être ce ne serait pas la première fois même si on le nie toujours…

Il est amusant de voir comme à certain moment nous somme critique avec nous même et à d’autre nous nous prenons de haut, il est très difficile de trouver le juste milieux presque impossible bien que certain ne soit pas arriver très loin. La parfaite maîtrise de notre univers et de sa confiance en soi, ça fait rêver mais elle ne sera jamais acquise si on pourrait mais il faudrait pour cela vivre entourer de légumes et encore quand il sont en terre ils grandissent une vie entourer de légumes à moitié mort… Quel entourage pour ma part je crois que je préférerait encore mieux vire entourer d’esprit complexe donc je mettrai une vie entière à n’en comprendre que la marche, ce n’est peut-être pas la vie rêvée non plus mais ça y ressemble un peu plus. Où situer leur vide de vie à eux?

Je crois que ça restera un avis subjectif jusque la fin du monde, les hauts placés dans l’échelle de la société diront que c’est une vie affreuse et qu’il vaudrait encore mieux être mort que de vivre de cette façons, je dirais que c’est essentiellement un choix et que si il sont mieux ici qu’ailleurs autant pour eux. D’autres auront un autre point de vue et tout le monde pourrait donner son avis et ça pourrait être un débat qui restera partagé pour encore longtemps sans que deux soi d’accord mais à quoi bon. Il y a d’autre chose à disputer en ce monde et d’autre chose à admirer notre monde est remplis de choses belles ou horrible qui devrait être vue ou tout simplement remarqué, il faudrait que beaucoup de choses change mais personne ne prend l’initiative de le faire sous prétexte qu’il y a d’autre chose plus urgente, mais c’est encore un sujet très subjectif… Ca fait mal de se rendre à l’évidence et il n’est jamais facile de se rendre compte qu’on ne sait pas se contrôler soi-même, on croit que vous voulez vous faire aider mais vous savez que les autre ne peuvent qu’attendre triste de ne pas vous venir en aide et d’assister à la preuve de se qui vous ronge. Il est très dure de montrer quelque chose quand on veut rester insensible même si on est entouré de gens qui semble nous comprendre du moins en partie. Lilly a beaucoup de mal à se faire comprendre, elle pourrait être muette se serait exactement la même chose. Elle avait toujours les yeux fermé, qui pouvait savoir à quoi elle pensait, elle se forçait à penser à la neige. Une étendue blanchâtre figée comme la mort comme si la nature voulait que pour un moment son cœur meure de manière à ce que les humain puissent le temps d’une saison entrevoir, elle rêve depuis toute petite qu’elle soit née un jour ou il neigeait c’et une pensée qu’elle avait eu enfant une pensée bénigne qui ne faisait de mal à personne et qui lui permettait de voyager autre les murs de son orphelinat. C’est stupide quand on y pense ses plus mauvais souvenirs son concentrée en cette saison mais elle n’a que les souvenirs pour exister, vivre immergée entre la réalité et son passé, elle ne saurât jamais l’effacer totalement de sa mémoire et elle ne saura jamais vivre sans. C’est un cercle vicieux qui prend tout son sens quand on y pense nous-même on souhaite souvent plus que tout effacé des choses de notre mémoire mais nous ne serions pas devenu comme cela si ils n’avaient pas eu lieux. Elle le mouvement de l’air qui était plus rapide, elle rouvrit les yeux de manière à voir se qui avait provoquer ce changement, elle se préparait à l’aveuglement du soleil mais rien, le ciel s’était couvert de nuage variant du blanc au gris et a son grand bonheur il commençait à se charger de flocon blanc qui tombait partout autour d’eux. Elle sourit mais cette fois en grand pas comme d’habitude comme une gosse qui n’attendait que ça et qui est ébloui par sa joie. Elle était radieuse, le temps à Londres était réputé variable mais cette fois elle trouvait que c’était bien fait enfin un peu de blanc pour colorer une vie si sombre. Elle n’avait pas remarqué qu’Eliott fût venu s’assoire à côté d’elle, elle en fut surprise mais lui dit d’une voix émerveillée :



-Tu aimes la neige?



La vie est changeante elle aussi comme si elle avait rayée les cinq dernières minutes et qu’elle avait fait disparaître la pneumonie qui devrait la faire redouter la neige. C’était bizarre, tout comme Lilly…
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MessageSujet: Re: Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly   Mon coeur bat encore, et le tiens? | PV Lilly Icon_minitimeJeu 27 Mar - 20:38

  • Aimes-tu la neige? Eliott as tu ne serais-ce une réponse à cette question? Non... Je m'en doutais! Un question pourtant simple peut vous berçer de desillusions, on a jamais réponse à tout même quand on se croit plus fort que l'on ne l'est. Juste pour une histoire de neige, mais la neige sa n'est pas seulement de la neige... C'est une étendue blanche et froide, glaçée même, son blanc est si pur, si profond que l'on peut si noyer dedans rien qu'avec le regard. On se sent sudmergé par la beauté de cette incroyable blancheur sans même s'en rendre vraiment compte, un peu petrifié et statufié par le froid on n'a plus de sens, à par la vue et l'ouie. A vrai dire, certains pourraient detester la neige, sa vous glaçe le sang, sa donne froid, sa rend malade et en plus sa mouille un peu quand même quand sa vous fond dessus, quand on s'en prend dessus. Sa glaçe les parts-brises des voitures, sa rend la chaussée glissante, sa vous fait tomber et sa transforme littéralement les paysages. Mais on peut aussi trouver sa manifique, par sa beauté d'un point de vue esthétique, d'un point de vue poétique. On peut trouver la paix et la serenité dans cette texture blanche eclatante. On peut se laisser berçer par la blancheur enchantée de la neige, s'y prendre à en rêver, à y rever... On peut s'y allonger et croire que l'on est un ange au paradis, si l'on veut bien y croire. Les choses iréelles ne peuvent être vraiment réelles qu'a ceux qui veulent bien y croire pour de bon, y croire tellement fort qu'ils arrivent à decupler les forces de la nature, rien qu'avec leur envie teméraire et inbrisable. Et sa c'est absolument grandiose, fabuleux!! Exaltant!
    Mais que peut on en dire de toi Eliott? De quel bord est-tu? Quel sont tes pensées, tes envies, tes espoirs inbrisables? Refaire le monde rien qu'en y pensant est-ce pour toi? Notre cher Eliott regardait les flocons de neige tomber sur eux, les recouvrir, couvrir d'une poussiére glaçée blanche tout les alentours. Tout Londres semblait se transformer en paradis. Eliott trouvait sa beau, simplement beau. Il esquissa un sourire et répondit à Lilly.

    "Oui... Et toi?"

    Il n'avait pas du tout envie de se lançer dans de grands discour, cent phrases pour juste dire qu'il aimait la neige commençait à le souler un peu. Il avait decidé de faire simple. Il se sentait ridicule de toujours vouloir toujours faire des phrases longues, longues, longues. Et toujours dire des choses basées sur du language soutenu mélangé à une poesie fadasse et peu reflechie dont les mots sont de simples mots qui n'on aucune signification cachée. Rien de mystérieux, rien de douteux. Juste du simple ridicule. Ou bien c'est toi simplement. J'avoue souvent te rabaisser Eliott, souvent te dire que ce que tu fais n'est pas bien mais c'est pour t'éviter de te fendre la gueule sur le pavé quand tu retomberas de ton rêve en couleur. Les gens sont cruels, les rêveurs comme toi ils evitent, ils méprisent. Ils se moquent d'eux. Et Dieu sait Eliott comme sa peut être blessant. Une fois que sa t'atteint toi, sa fait mal... Trés mal. Et on a du mal a s'en relever, on perd sa confiance, on n'est plus rien à ses yeux, aux yeux des autres. On est plus qu'un fantome aux épaules voutées, le regard sur ses pompes, le regard vide, plus de sourire. On est comme moi Eliott, et je ne te souhaite rien de tel. Les gens sont cruels tu sais, trés cruels. Ne les laisse pas t'abattre, ne les laisse pas te voler ton bonheur même si j'avoue que le bonheur c'est pas la Lune dans ta situation. Le bonheur c'est d'arriver à ce qu'on a déjà Eliott! Rien d'autre!
    Eliott se laissa tomber en arriére, il était allongé sur la dalle froide et recouverte d'un voile de neige. Il était bien, il regardait ce ciel pleurer des flocons opaque. C'était presque émouvant de le voir ainsi ce mettre à nu, ce si joli ciel...
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